L’Eglise catholique vit dans la tradition. C’est sa marque de fabrique. Elle n’a donc pas abandonné le grec, la langue de Paul, ni le latin, la langue des évêques de Rome. Nous voilà donc entré dans le Synode 2023. Lancé par François le 7 octobre, relancé à son rythme par notre évêque et son vicaire à Genève, voilà que le synode est arrivé à Compesières en ce troisième dimanche de l’Avent.
Une vingtaine de fidèles a assisté à la messe de 10h, dite par l’abbé Jacques Contraire, dont une petite moitié de des paroissiens de Compesières. Le ciel était bouché en ce dimanche de décembre. La messe fut belle et même chantée. « Gaudete », a dit l’abbé
« Gaudete ». « Premier mot latin de l’introït du troisième dimanche de l’Avent, me dit le site Liturgie catholique. Ce dimanche est comme une pause au milieu de l’Avent et comme une anticipation de la joie de Noël. Pour mieux le signifier, on peut utiliser des ornements roses, jouer de l’orgue et prévoir une décoration florale dans l’église. Il en est de même au quatrième dimanche de Carême. »
Dans sa lettre à ses paroissiens, l’abbé Maomou, administrateur de notre Unité pastorale de Carouge, Salève, Acacias, précise que le synode est un chemin qui s’adresse à tous les catholiques et particulièrement à ceux qui se sont éloignés de l’église. Combien se mettront en marche. Comment alerter les 1200 baptisés de Compesières?
En écho, Jaques Contraire, résume les questions du pape en une seule: Qu’attentions nous de notre Eglise? Le sens de la foi que nous avons reçu au baptême nous dit de prier l’esprit saint qui nous donnera la réponse, commente l’aumônier des hôpitaux. Et, s’inspirant des lectures du jour, il ajoiute: Se faire petit pour laisser à Jesus la place de naître en nous.
Découvrez ICI un document explicatif que vous retrouverez également au fond de nos églises. Vous trouverez sur ce document les noms des personnes répondantes pour chacune de nos paroisses. N'hésitez pas à les contacter pour plus d'informations. Nous espérons que vous serez nombreux à participer à cette démarche, conclut l’abbé Maomou.
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