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  • Qui fait quoi?

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    L’église de Compesières est le patrimoine de toutes et tous. Elle est embellie et entretenue par la paroisse Saint-Sylvestre (Sylvestre est le nom du 33e pape. Il a vécu au temps de l’empereur Constantin). L'église de Compesières est un lieu consacré, où la communauté paroissiale se nourrit du Christ ressuscité et de la parole de Dieu que son esprit répand en abondance.

    La paroisse de Compesières fait cause commune sur le plan pastoral avec les paroisses de Troinex, Veyrier, Carouge et Les Acacias. Le site internet de l'Unité pastorale est: www.upca.ch 


    Contacts: Elie Maomou, prêtre administrateur de l’UP (076 626 96 80),

    JF Mabut, Conseil de paroisse de Compesières (079 400 11 18),

    Karine Stachelscheid, secrétaire de la paroisse (022 784 31 03).

    Adresse courriel: compesieres@cath-ge.ch

    Internet: www.upca.ch, Horaire des messes, Information de l’UP, Formation enfants, Eglise catholique de Genève, Diocèse.

    Locations de l'église et de la salle Saint-Sylvestre. C'est ici et adressez votre demande à compesieres@cath-ge.ch.

    Adresse postale : Paroisse de Compesières Saconnex-d’Arve 300, 1257 Croix-de-Rozon.

    Dons: Vos dons, déductibles de vos impôts, serviront à la pastorale et à l’entretien de l’église. Merci. Iban Raiffeisen: CH 36 8080 8009 3392 7624 4.


    Elie Maomou, prêtre du diocèse de Kankan en Guinée Conakry, est administrateur de l’Unité pastorale de Carouge Salève Acacias (UPCSA) depuis le 1er septembre 2021. Un prêtre célèbre la messe à Compesières tous les quinze jours le dimanche à 10h (Consultez les horaires des messes). Compesières, Troinex et Veyrier ont constitué de 2005 à 2020 l’unité pastorale Salève. Depuis le 1er janvier 2021, ces trois communautés forment l'Unité pastorale Carouge Salève Acacias avec les paroisses Sainte-Croix de Carouge et Sainte-Claire des Acacias.


    Lire aussi: Plus de mille catholiques à Compesières


    Equipe pastorale (EP)

    Elie Maomou est assisté par l’abbé Jean-Marc Lacreuze, prêtre auxiliaire à 50%. Longtemps animatrice pastorale de l'UP Salève, Isabelle Hirt, qui fut un temps première femme à Genève à être responsable d'une UP, a pris sa retraite fin août 2022.

    Martha Herrera, assistante pastorale à 100%, Nicolas Baertschi, assistant pastoral à 80%, Laurence Faulkner-Sciboz, coordinatrice en catéchèse à temps partiel et Ghada Haodiche, animatrice pastorale en formation, complètent l'équipe pastorale (EP). Plusieurs bénévoles apportent leur contribution à la marche de nos paroisses.

    Bernard Dusonchet, Marianne Richeux, Marie-Thérèse Crettenand et Claude Magnin participent au Conseil de communauté  Salève. Claude Magnin dirige la chorale de Compesières-Salève, dont le président est Michel Gaud .

    Histoire récente de la paroisse

    Xavier Lingg fut le dernier prêtre résident à Compesières. Les locaux de la cure de Compesières accueille la Mairie de Bardonnex depuis 2020.

    Compesières, dont l’église a surgi dans l’histoire en 1270, date de sa donation par l’évêque de Genève aux chevaliers de Malte, n’a plus de prêtre résident. A la suite d’un échange avec la paroisse, la Cure de Compesières est devenue la Mairie de Bardonnex. 

    L’assemblée générale du 13 juin 2021 n’a pas pu élire un comité complet, faute de candidats. Un comité transitoire a géré les affaires séculières courantes de la paroisse jusqu’à la fin de l’année 2021. Il était composé de JF Mabut, président, Isabelle Hirt, responsable pastorale, Pierre Thabuis, trésorier, André Crettenand, responsable des bâtiments, Monique Gaud, secrétaire, Pierrette Sapey et Jérôme Dusonchet.

    Le 29 novembre 2021, une assemblée générale extraordinaire a complété le Conseil de paroisse. Il est composé de JF Mabut, président, Véronique Crettenand et Gisèle Gaud, vice- présidentes, Bernard Blondin, trésorier, Christophe Cortiglia, responsable des bâtiments, ainsi que de Pierrette Sapey et de Jérôme Dusonchet. On consultera la liste des membres ici et ses activités

    Notre rôle

    Bonjour,  Compesières Info est le Bulletin paroissial de l'église de Compesières. JF Mabut, président du Conseil de paroisse en est l'éditeur responsable. 

    Depuis le 1er janvier 2021, la paroisse de Compesières fait partie de l’Unité pastorale Carouge, Salève, Acacias. Notre  rôle est d’annoncer la Bonne nouvelle, dont on trouve le résumé dans le discours sur le bonheur, que Jésus demande à ses adeptes d'annoncer dans toutes les nations. La Bonne nouvelle prend parfois des chemins de traverse pour se faire connaître. Nous ne sommes pas les seuls à l’annoncer. Elle s’adresse à toute la création. Elle se vit plus qu’elle ne se lit. Elle renforce tout homme, sans distinction de genre, de statut ou d'origine, qui met ses pas dans ceux de Jésus Christ. Elle tient en quelques mots: «Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé.»

     

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    Cette note a été mise à jour le 27 octobre 2022.

     

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  • Unité des chrétiens à Compesières

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    Aujourd’hui, et depuis de nombreuses années déjà, nos trois paroisses catholiques romaines de Veyrier, Troinex et Compesières, ont l’habitude de vivre, avec les communautés protestantes et arméniennes, implantées sur notre territoire pastoral, une célébration de prières. A tour de rôle, nous invitons nos frères et sœurs des deux autres confessions à prier avec nous, dans un de nos édifices religieux, selon notre rite propre.

    C’est une grande richesse, de découvrir ainsi l’autre, à la fois semblable et différent et à apprendre à le connaître en partageant la prière, le pain et le temps convivial et fraternel qui suit la célébration.

    Certes, certaines visions théologiques sont différentes, parfois opposées et difficilement réconciliables. Mais notre foi en un Dieu trinitaire, notre profession de foi et notre engagement à l’Évangile sont notre trait d’union et c’est cela que nous devons soigner et chérir ensemble.

    A l’heure où l’Église catholique romaine est en souffrance et où chacune de nos Églises rencontrent des difficultés et des questionnements, en proie à la déchristianisation de notre société, il est nécessaire de revenir à l’initial de notre foi et de rester unis.

    Cette année 2024, c’est au tour de notre communauté catholique d’inviter nos frères et sœurs protestants et arméniens, le dimanche 21 janvier à 10h à l’église de Compesières. (Télécharger le déroulement en cliquant ici)

    A Carouge, la célébration oecuménique aura lieu au temple de Carouge, a annoncé Philippe Schönenberger, prêtre administrateur de notre UP,  dimanche 14 janvier à Compesières. Voilà ce que les confessions catholique et protestante de Genève disent sur le site web et, pour les plus curieux, le vade-mecum publié par le Vatican en 2020 sur la question de l'oecuménisme et la brochure 2024. 

    Même si une célébration par année peut sembler bien dérisoire, c’est déjà un message de paix, d’ouverture et de tolérance et une réconciliation possible. C’est pourquoi, nous espérons être nombreux autour de nos ministres, le révérend Goossan Aljanian, le pasteur Blaise Menu et l’abbé Jean-Marc Lacreuze pour célébrer ensemble et d’une seule voix notre Christ et Sauveur et prier pour ce monde qui a tant besoin d’espérance. 

    Au bonheur de vous retrouver dimanche. Un apéritif sera offert à la salle paroissiale de Compesières.

    Isabelle Hirt, pour le conseil de communauté de Veyrier, Troinex et Compesières

    Un peu d'histoire

    (Extrait du site unitedeschretiens.fr)

    La semaine universelle de prière pour l’unité des chrétiens a vu le jour en 1935, dans la première moitié du XXe siècle, qui aura été celui du rapprochement entre les chrétiens et de l’émergence du mouvement œcuménique.

    Depuis la rupture du XVIe siècle, les chrétiens n’ont jamais cessé de prier pour leur réconciliation. On perçoit, au XIXe siècle, des tentatives de rapprochement chez les chrétiens non-catholiques. La nécessité d’une meilleure coopération les a amenés à créer les premières organisations internationales, qui conduiront, un siècle plus tard, à la création du Conseil œcuménique des Églises.

    Face à ces volontés d’union ou d’alliance, le pape Léon XIII, à la fin du siècle, invite les catholiques à instaurer une neuvaine de prière dans le temps de Pentecôte pour « hâter l’unité du peuple chrétien », c’est-à-dire le « retour » des chrétiens séparés à l’Église catholique romaine.

    Les tentatives d’union et de dialogue entreprises par les non-catholiques au cours du XIXe siècle vont se développer dans les premières décennies du XXe. Lors de la conférence missionnaire d’Édimbourg en 1910, qui est considérée comme le début du mouvement œcuménique, la question de la nécessaire unitédes Églises sera posée. Inspiré sans doute par l’appel de Léon XIII, Wattson [prêtre anglican converti au catholicisme] lança en 1908, du 18 au 25 janvier, une « octave de prière pour l’unité de l’Église », dans l’esprit d’un retour à Rome des chrétiens séparés, qui sera reconnue en 1916 par le pape Pie X.

    L’abbé Paul Couturier (1881-1953), prêtre diocésain ordonné en 1906, licencié en sciences physiques, enseignant à l’institution des Chartreux à Lyon, par en 1932t faire une retraite au prieuré bénédictin de l’Union à Amay-sur-Meuse en Belgique (prieuré fondé en 1925 par le bénédictin dom Lambert Beauduin, transféré à Chevetogne en 1939). Il y expérimente la prière liturgique selon les deux rites, romain et byzantin (grec ou slave) et découvre une théologie de la liturgie développée par le fondateur, novatrice pour l’unité des chrétiens. C’est aussi à Amay que Paul Couturier songe à une possible célébration à Lyon de l’octave de prière initiée par Paul Wattson en 1908. C’est le point de départ de son engagement œcuménique.
    Du 20 au 22 janvier 1933, Couturier lance à Lyon, en l’église Saint-François-de-Sales d’Arnay, trois jours (un triduum) de prière pour l’unité sur la base de la formule unioniste d’un retour à l’Église catholique.

    Le triduum devint, dès l’année suivante, « octave de prière pour l’unité des chrétiens » puis « semaine de prière pour l’unité chrétienne », du 18 au 25 janvier de chaque année. Soutenus par le métropolite Euloge, des orthodoxes participent à la semaine à partir de 1935. Par petites touches, il subvertit la formule unioniste jusqu’à ce qu’elle devienne, en 1937, « l’universelle prière des chrétiens pour l’unité chrétienne » (cf. Revue apologétique, novembre 1937), « comme le Christ la veut et par les moyens qu’il voudra ». Il n’est plus question d’un retour au bercail romain mais d’une émulation spirituelle convergente avec le vœu du Christ : « Qu’ils soient un » (Jn 17, 11).

    Dès lors, l’ « œcuménisme spirituel » est né : les divers rameaux de la chrétienté peuvent s’approprier une prière dépourvue de tout accent prosélyte.

    Le mouvement de la Semaine de prière pour l’unité chrétienne a rapidement pris une dimension interconfessionnelle et internationale.

  • Le bon samaritain: Dieu, un hérétique?

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    Ce n'est pas tous les jours dimanche. Pourtant, les participants à la célébration oecuménique de dimanche dernier à Compesières garderont sans doute un souvenir lumineux de voir côte à côte - ce n'est pas une première - un prêtre, Jean-Marc Lacreuze, un pasteur, Blaise Menu, et Gossan Aljanian, prêtre de l’Eglise arménienne Saint Hagop à Troinex, concélébré et dire merci pour ce Dieu qui s'est fait proche au point de devenir un des nôtres, né d'une femme, comme tout un chacun, qui a vécu au temps de Ponce Pilate, légat de l'empereur Auguste dans la région de Jérusalem... La suite vous la connaissez, c'est le credo chrétien... 

    Qu'est-ce qui nous sépare donc encore? Quelques détails sans doute, dont le diable et les dévots font leur margarine.

    La prédication du pasteur Menu n'était pas trop longue mais exigeante pour des oreilles - celle des catholiques notamment - peu entraînées à des développement théologique et mal servie par une installation sono - celle de l'église et nos propres oreilles, qui commencent à montrer de sérieux signes de vieillissement... 

    Bref, j'ai tenté de saisir au vol les propos du prédicateur et lui ai envoyé ma copie qu'il a bien voulu annoter et compléter. Vous pouvez la lire en cliquant ici

    La prédication est un art, celui de capter et de retenir l'attention, associé, forcément, à une bonne connaissance de la Bible, des Evangiles et des commentaires écrits depuis des milliers d'années. Cette masse de données n'est pas à la portée du premier venu.

    Jusqu'à aujourd'hui.

    Nous vivons en effet depuis quelques mois une révolution aussi formidable que l'invention de l'imprimerie à la fin du XIVe siècle. Les caractères mobiles, l'encrage et la presse mis au point par Gutenberg ont joué une rôle d'accélérateur formidable dans la diffusion des textes, la Bible au premier chef, et des idées nouvelles. L'imprimerie a donné aux Réformateurs le moyen de faire connaitre la parole des prophètes et de Jésus et, dans la foulée, ce qui exigeait seulement des oreilles a nécessité des yeux exercés pour lire. Genève, comme on sait, a hébergé un illustre réformateur, Calvin que Blaise Menu n'a pas manqué de citer dans une petite digression sur le juste salaire. 

    La révolution d'aujourd'hui, dont on ne sait pas encore quelle réforme elle va favoriser,  c'est l'intelligence artificielle, soit la capacité d'une machine à aller chercher dans un paquet énorme de données et de textes des réponses adéquate aux questions que tout un chacun peut poser en écrivant ou en parlant sur son smartphone.


    «L'évolution des systèmes d’ “intelligence artificielle” est également en train de modifier radicalement l’information et la communication». Telle est l’inquiétude du Pape François exprimée dans son message à l’occasion de la 58ème Journée Mondiale des Communications Sociales, célébrée chaque 24 janvier en la fête de saint François de Sales, patron des journalistes.


    Nous sommes tout au début de cette révolution. Les réponses sont parfois balbutiantes ou erronées. La machine répond en fonction des données qu'un humain à sélectionné. Ne l'oublions pas et de l'art de poser correctement la question. Affutons donc notre esprit critique. Ne nous contentons pas de la première réponse venue d'un seul outil! 

    Voici un exemple:

    Les machines à intelligence artificielle ou outils conversationnels se multiplient déjà et se spécialisent. Vous pouvez tester les généralistes comme ChatGPT d'OpenAi, qu'utilise Microsoft dans son application Bing, ou Google dans Bard. A noter que les Européens et les Suisses ne sont pas absents, mais restent loin derrière. Ils pensent surtout à se préserver. Tapez "IA Europe" dans un moteur de recherche et vous obtiendrez surtout des articles de juristes, très peu d'ingénieurs. 

    Il y a aussi des IA spécialisées.

    Un article de La Croix cette semaine "L’intelligence artificielle va-t-elle changer nos pratiques religieuses ?" fait un petit tour d'horizon non exhaustif dans le monde de la religion à l'occasion des Journées Saint-François de Sales, patron des journalistes, qui se tiennent cette semaine à Lourdes.

    On peut lire d'autres articles à ce sujet sur le site de l'église catholique à Genève et sur Aleteia, un comparatif de trois IA: CatéGPT, Catholic.chat et Magisterium. 


    IA, gare au spectre d'un nouvel esclavage, lance François


    J'ai testé CatéGPT qui est un outil  fabriqué en Suisse romande et dont le service de presse de l'église catholique suisse Cath.ch a déjà parlé dans cet article: CatéGPT, l'intelligence artificielle au service de l'Eglise, sans souligner une proximité des concepteurs avec le courant fondamentaliste du catholicisme, dont les clochers et les chapelles sont multiples comme on sait. 

    Voici la question posée:

    "Dans la parabole du bon Samaritain, qui est le bon Samaritain?"

    On trouvera dans ce document (qui n'engage que son auteur) la première réponse que j'ai reçue (sur mon smartphone)  et le seconde plus courte (reçu sur mon ordinateur). Ainsi que d'autres tests avec d'autres IA. 

    A chacun de se faire une opinion. 

     

    Prochaine messe à Compesières le 11 février

    Ce dimanche et le prochain, pas de messe à Compesières. La prochaine messe aura lieu le dimanche 11 février à 10h.

    L'horaire des messes est accessible sur Compesières Info en cliquant sur Messe dans le titre. L'application Théodia crée à Fribourg vous donne les horaires des messes de milliers d'églises dans le monde et aussi celles de notre région. 

     


    D'autres infos: Upca.ch,  églisecatholique-ge.ch,  Cath.ch, diocèse-lgf.ch, vatican.news


    Et autour de nous: UP Rives-de-l'Aire, UP La Seymaz,  Diocèse d'Annecy, diocèse de Belley-Ars, Paroisse de Saint-Julien-en-Genevois.

     

    NB: Version mise à jour le 26 janvier à 14h