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Occasions de cultiver l'amitié

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Ce dimanche 19 novembre, la messe sera dite à Compesières à 10h. La célébration sera suivie d'un apéritif. Ce 19 novembre marque aussi la fête de la paroisse protestante de Bardonnex, Perly-Certoux et Plan-les-Ouates *. Deux belles occasions de cultiver l'amitié.

Ce dimanche encore à 17h, l'ensemble vocal et instrumental Veyrivox se produira dans notre église à l'occasion de son 10e anniversaire. Entrée libre

Ce dimanche 19 novembre, c'est la septième journée mondiale des pauvres. Le pape François ne manque pas une occasion pour rappeler combien il est difficile à un riche d'entrer dans le royaume des cieux et combien heureux sont les pauvres.

C’est en 2017 que le pape François a initié la première Journée mondiale des pauvres au terme du Jubilé de la miséricorde, célébré en 2016 pour marquer les 50 ans du Concile Vatican II.

Les messages du pape pour la Journée mondiale des pauvres sont rendus public le 13 juin de chaque année depuis 2017. Ce jour est consacré à saint Antoine de Padoue, patron des pauvres. La journée en tant que telle est fixée au 33e dimanche du temps ordinaire, avant la fête du Christ Roi qui vient clore l’année liturgique. 

Dans la documentation catholique, on lit  notamment: 

« lorsque nous sommes devant un pauvre, nous ne pouvons pas détourner le regard, parce que nous nous empêcherions de rencontrer le visage du Seigneur Jésus ». Dans la suite de son message, le pape constate que « nous vivons un moment historique qui ne favorise pas l’attention envers les plus pauvres ». Le volume « de l’appel au bien-être » s’élevant de plus en plus, « tandis que l’on impose le silence aux voix de ceux qui vivent dans la pauvreté ». Les pauvres deviennent alors des images, souligne-t-il, « qui peuvent émouvoir pendant quelques instants, mais quand on les rencontre en chair et en os dans la rue, la gêne et la marginalisation prennent place ». « La hâte, compagne quotidienne de vie, empêche de s’arrêter, de secourir et de prendre soin de l’autre. » Pour le pape François, fort heureusement, « beaucoup d’hommes et de femmes se dévouent aux pauvres et aux exclus, et partagent avec eux… »

 

Les prochains jubilés auront lieu en 2025 et en 2033

Le nom jubilé vient du mot hébreu «Yobel» qui désigne une corne de chèvre utilisé comme trompette. Tous les cinquante ans, le son de cette trompette proclamait le début d’une année spéciale pour Israël, celle du jubilé. Selon la Bible, l’année jubilaire comportait, entre autres prescriptions, la remise de dettes, la libération des esclaves et le repos total de la terre. Une manière de rétablir une justice sociale.

Pour les catholiques, le premier jubilé daterait de 1300. Cette année-là, environ 200 000 pèlerins voyagent jusqu’à Rome, poussés par une rumeur disant que « tout chrétien qui visiterait le corps des apôtres Pierre et Paul pendant cette année centenaire sera délivré tant de ses fautes que de sa peine ». Bref une simple remise de dette. Rien à re dire sauf que les indulgences finir par être vendues, de quoi alimenter les critiques de Luther. 

Le Grand Jubilé de l’an 2000 avait donné lieu à de nombreuses célébrations et événements dans Rome tout au long de l’année.  Après le jubilé de 2025, le prochain devrait avoir lieu en 2033, pour célébrer les 2000 ans de la résurrection du Christ. Un activiste suisse évangélique, Olivier Fleury, a déjà créé un site à ce sujet www.jc2033.world/fr/

 

* Pour mémoire, le territoire de la paroisse de nos amis protestants recouvre assez exactement le territoire de l'ancien paroisse de Compesières. 

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