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C’était mieux « Avent »?

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4143B224-208B-4439-BB87-6231B61D355B.jpegPourquoi l’Avent s’écrit-il avec un « e » et non un « a »? Pour résumer les réponses nombreuses qu’on trouve facilement sur la toile (: parce que l’Avent annonce l’après, l'avenir, ce qui va advenir du latin advenire, qu’on chante à Noël dans Il est né le Divin Enfant… Chantons tous son avènement!

L’Avent est donc devant nous et nous en sommes les acteurs. On est bien loin de la nostalgie des « c’était mieux avant » et de ceux qui regardent dans le passé des réponses pour le temps présent. 

C’est à Compesières ce dimanche 28 novembre que sera célébrée pour les communautés de Veyrier, Troinex et Compesières, l’entrée dans le temps de l’Avent. C’est traditionnellement le début de la nouvelle année liturgique. 

Un groupe de fidèles a préparé cette réunion qui sera suivie d’un apéritif à la salle Saint-Sylvestre. Venez nombreux et n’oubliez pas votre Pass Covid et votre masque. 

Vous pouvez télécharger en cliquant sur le lien lafeuille de route du 1er dimanche de l’Avent à Compesières.

L’église catholique de Genève, comme beaucoup d’autres, propose de s’inscrire à une InfoLettre. (JFM)

 

Ajout dimanche à 15h

Dimanche matin, j’ai lu dans La Croix un article bien intéressant d’un dominicain, Adrian Candiard. Je vous l’offre car je crois qu’il tombe en résonance avec le sujet de ce billet et quelques questions qu’on se pose en église.  Ce texte s’inscrit dans une série publiée par le quotidien catholique français sur la question de l’identité, une série dirigée par Isabelle de Gaulmyn, rédactrice en chef.

« Je suis je, voilà tout », affirmait Michel Serres. Pourrait-il encore le dire alors que se multiplient les questionnements sur nos identités, que ce soit au plan du genre, de l’origine ou de la religion ? Faut-il se réjouir de ces interrogations, permettant de prendre en compte les minorités, ou redouter que cela n’aboutisse à mettre chacun de nous dans une case particulière ? Dans le cadre d’une séquence dans La Croix du 15 novembre au 3 décembre, La Croix L’Hebdo propose trois points de vue distincts :ceux d’un religieux, d’une psychanalyste et d’une historienne.

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