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Pétales de papier: En "Avent"!

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Ce dimanche à Veyrier, une quinze de lecteurs des paroisses Salève (Compesières, Troinex et Veyrier) ont reçu le missel des dimanches des mains de notre abbé Elie Maomou. Un bouquin de 650 pages qui égrène les lectures de l'année liturgique A, des prières, la liturgie de la messe, des vies de saints. Bref une somme, une masse de bonnes intentions. Des textes calés sur la nouvelle traduction du Missel romain. 

Merci à Gisèle qui est à l'origine de cette distribution et à l'équipe de Veyrier d'avoir préparé cette entrée dans le temps de l'Avent. 

Dimanche dernier, les convives du repas du 100e anniversaire de l'orgue de Compesières ont été invités à laisser un simple mot sur des pétales de papier pour qualifier la journée et proposer des pistes à notre paroisse. 

Je les ai rassemblés dans l'image ci-dessus que vous pouvez agrandir et parcourir d'un clic. De simples mots pour dire le besoin des gens: amour, bienveillance, accueil et d'autres encore du même tonneau. Nos théologiens devraient s'en inspirer quand, après 40 ans de longs travaux,  ils nous proposent cette formule pour la prière sur les offrandes, balbutiée ce matin: 

Prière sur les offrandes
Le célébrant dit :
Priez, frères et sœurs :
Que mon sacrifice, qui est aussi le vôtre,
soit agréable à Dieu le Père tout-puissant.

Le peuple se lève et répond :
Que le Seigneur reçoive de vos mains ce sacrifice
à la louange et à la gloire de son nom,
pour notre bien et celui de toute l’Église.

Jésus parlait dans un temps où les sacrifices d'animaux étaient encore courant dans toutes les religions d'alors.

Que signifie ce mot aujourd'hui?

Une mère ou un père peut se sacrifier pour ses enfants, un proche aidant pour son parent ou un ami, un soldat ukrainien pour sa patrie... 

Quand Jésus est monté à Jérusalem sous les vivats des gens, c'est autant parce qu'il était un guérisseur que parce qu'on espérait qu'il soit le roi des Juifs qui chasserait les Romains du pays.

Sauveur, il l'est. Roi non. Pas dans le sens en tout cas qu'on donne ordinairement à la royauté ici-bas. Sur ce point je laisse la plume à plus savant que moi, Pierre Emonet, prêtre jésuite habitant Carouge: 

 

 

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