La fête de la saint Pierre et saint Paul à Veyrier ce dimanche 29 juin était une belle messe comme on dit: priante, fervente, chantante. De quoi donner raison à notre évêque Charles Morerod qui recommande moins de messes mais dans des églises pleines, car la foi est contagieuse. Elle se se vit plus intensément dans une église pleine, où le volume des voix et la proximité des coeur créent un effet d’entraînement, un effet de masse.
UP Carouge Salève Acacias
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Notre évêque a peut-être bien raison
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Prions pour le monde!
Messe de clôture ce dimanche 29 juin à 10h15 à Veyrier pour notre Unité pastorale Carouge Salève Acacias (UPCA) toute entière, quelque 17'000 baptisés selon le fichier catholique: 7100 à Carouge (St Croix), 3900 à Veyrier Sz Maurice), 3200 aux Acacias (Ste Claire), 2000 à Troinex (Ste Marie-Madeleine) et 1200 à Compesières (St Sylvestre).
Notre curé Philippe Schönenberger célébrera avec les abbés Jean-Marc Lacreuze, Xavier Lingg, Gilbert Joye. Aucun laïc à la table de communion, mais quelques uns, surtout quelques-unes pour les lectures, la communion, la direction des chants, les prières universelles. Notre paroisse de Compesières doit en préparer une pour le monde.
Quel est votre avis, quelle prière pour le monde devrons-nous prononcer dimanche à Veyrier?
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Quoi, 150 ans après le baptême à la baïonnette?
La paroisse de Notre-Dame de Genève a commémoré ce dimanche 22 septembre les 200 ans de la naissance du cardinal Mermillod. Le prélat, né à Carouge le 22 septembre 1822, sept ans après le rattachement de Genève à la Confédération fut le premier curé de la basilique en 1857 et l'ardent acteur du retour des catholiques à Genève mais aussi la victime du Kulturkampf.
Il a donc été question d'histoire et de luttes hier matin à Cornavin, où se trouvaient les fortifications de Genève jusqu'au milieu du XIXe siècle. Le régime radical fazyste octroya également à l'époque des terrains pour la construction d'une synagogue, d'un temple maçonnique (devenu le Sacré-Coeur où demeure désormais l'administration de l'Eglise catholique), de l'église russe et de l'église anglaise. Pas de mosquée ni de temple bouddhiste, car les fidèles de ces cultes étaient trop peu nombreux. Saurait-on aujourd'hui les accueillir dignement au coeur de la ville?