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Célébrer - Page 31

  • Fatima, Marie, le pape, l’Ukraine

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    77283A6C-75A4-4881-9BC4-B1D771DD6FD6.jpegLe Pape, combien de divisions? Le mot de Staline serait-il à nouveau d’actualité? Ce vendredi 25 mars, fête de l’Annonciation, François mobilise toute la catholicité pour la paix. Il va consacrer l’Ukraine et la Russie au coeur immaculé de Marie. Un acte spirituelle (lire ce qu’en dit cath.ch) qui fleure bon le XIXe siècle mais qui, à la lecture de la prière que le pape a publiée pour être lue par tous, a des notes de nostra culpa, qui plairont à ceux qui pensent que la guerre actuelle est le fruit vénéneux de notre aveuglement collectif. 

    La semaine dernière le magazine La Vie avait publié un intéressant article sur l’origine de cette consécration. Elle se raccroche au deuxième secret de la prophétie de Fatima. 

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  • Le sacrement de la tendresse

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    16EFD3AB-2884-4719-BC92-C47C473FE991.jpegDe l’extrême onction au sacrement de la tendresse... Les mots ont leur sens et leur poids. Longtemps l’Eglise catholique a réservé le sacrement de la tendresse de Dieu aux mourants, d’où la désignation sacrement des malades ou sacrement des mourants. Sans doute une réminiscence de ces prêtres égyptiens qui recevaient le dernier souffle des vivants sur l’ânkh, la crois ansée, le symbole de la vie éternelle, de l’immortalité dans l’autre monde.

    Les symboles ont la vie dure. Les gestes, magiques ou identitaires, aussi. Tremper les doigts dans un bénitier et se signer, par exemple. 

     

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  • Une messe sans histoire

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    L’Ukraine, martyrisée par le dictateur Poutine, a donné une actualité grave à la première messe catholique dite depuis 486 ans à la cathédrale Saint-Pierre de Genève, devenue temple réformé en 1535. Une minute de silence, une prière pour un cessez le feu, pour la paix. Quoi d’autre?

    Les protestants présents et muets, nonobstant les mots d’accueil du président de la paroisse de Saint-Pierre, ont été invités à la communion, une ouverture passée presque inaperçue. Le site de l’église catholique de Suisse publie les photos  de l’imposition réciproque des cendres des deux amis à l’origine de cet événement historique: l’abbé Pascal Desthieux, vicaire à Genève de notre évêque Charles Morerod, et le pasteur Emmanuel Rolland, désormais « vicaire » de l’église protestante de Genève. 

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    Des photos de pasteurs en noir recevant l’hostie consacrée par un prêtre en violet, aucune. Aucune publiée. 

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