« Les voies du Seigneur sont impénétrables. » La formule est connue. Elle vient de l’apôtre Paul ou du psaume 139, renseigne l’Internet. Une manière de dire aussi qu’elles sont multiples les voies du Seigneur et qu’elles tracent la route là où on ne les attend pas. Qu’il est vain de vouloir imposer sa liturgie comme la meilleure, la plus authentique, la plus canonique. Ce qui est certain, c’est que la Bonne nouvelle - l’heureuse nouvelle comme le traduit Frédéric Boyer dans Évangiles qui vient de sortir chez Gallimard - est plus souvent correctement entendue et mise en œuvre par les pauvres, les sans-grade, les éclopés, les dominés de notre société, les publicains...
Parmi les dominés, il y a la moitié de l’humanité, les femmes. Dimanche dernier, un bon paroissien de chez nous, membre fidèle d’une voie de traverse, une CBB (communauté de base), s’en est allé au Foyer de charité les Dents du Midi à Bex. Nous lui avons demandé une petite synthèse de ces journées. La voici: (JFM)