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  • Après la messe foot, Anne Soupa

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    Quelqu'un parmi les lecteurs de Compesières Info se souvient-il qu'Anne Soupa, journaliste française, théologienne, s'est fait connaître soudain, le 25 mai 2020, en pleine pandémie, en se portant symboliquement candidate à la fonction d'archevêque de Lyon, quand Philippe Barbarin fut atteint puis emporté par la vague des affaires sexuelles en France (Voir aussi ici et ).

    Anne Soupa sera au temple de Plan-les-Ouates ce mercredi 14 mars à 20 heures dans le cadre des conférence oecuménique de Carême. Le site cath.ch consacre tout un dossier à cette fondeuse. 

    Capture d’écran 2023-03-11 à 17.37.50.png"Il y a des raisons d'espérer", tel est le thème de son intervention. Va-t-elle nous raconter son coup d'éclat telle la Marianne de Delacroix, ou analysera-t-elle les résultats du synode allemand qui a terminé ses travaux vendredi 11 mars en adoptant 15 textes, dont liberté de prononcer des sermons pour les hommes et les femmes, la consécration des femmes à la fonction de "sous-prêtre" (diacre dans le langage ecclésiastique) ou la bénédiction des couples de même sexe (voir ici et )?

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    A Compesières, ce 12 mars, la messe dédiée aux footballeurs a rassemblé quelque 80 personnes. Une assistance dans la cible de votre président, mais pas au niveau des espérances de l'initiateur de l'événement, Michel Favre. 

    Qu'y a-t-il de commun entre la messe foot de Compesières et la croisade pour les femmes d'Anne Soupa et de l'Eglise en Allemagne? 

    Le football comme beaucoup d'autres clubs fut une affaire d'hommes exclusivement, les femmes étaient bonnes pour laver les maillots et les culottes de leurs garçons et panser leur bobos. Compesières n'échappa pas à ce qui fut pendant plus d'un siècle une règle sacrosainte. Et les filles ont réussi à s'imposer et même à remplir des stades et à grimper dans l'estime des hommes et d'elles-mêmes. Continuons le combat...

    Nos églises locales ne tiendrait pas trois mois si les femmes qui les servent dans le plus petites fonctions, qui s'occupent de la transmission de la Bonne nouvelle (et du catéchisme), qui lisent le récit des hébreux et celui des apôtres mais pas les Evangiles, qui accompagnent les mourants, visitent les malades, président aux funérailles et aux baptême dans certains diocèses - mais pas le nôtre. Demain en Allemagne, elles seront diacres et sans doute un jour ici et là sur la pèlanète prêtre et évêque car rien ne s'oppose à leur consécration sinon l'emprise que des hommes, les clercs maintiennent dans  notre Eglise et dans tant d'autres fonctions encore. Continuons le combat...

    Une messe foot ne fait pas le printemps de l'église

    Une messe foot ne fait pas le printemps de l'église. Une femme prêtre catholique ou même diacre non plus. Cependant ces petits mouvements discrets, controversés, tâtonnants sont notre dignité. Pas un saint qui n'a pas remis en cause les routines, les habitudes, les "on a toujours fait comme ça".

    Si l'Eglise se meurt dans nos contrées, n'est-ce pas parce que nous ne la faisons pas vivre? Et qu'est-ce que la faire vivre sinon être les porteurs de cette Bonne nouvelle d'amitié qui vient du fonds des âges, mystérieusement incarnée par Jésus et tous les saints? Amitié, amour, respect, justice entre tous les hommes, tout genre confondu, toujours et partout; amitié, respect justice avec toute la création.

    Ce 12 mars, la messe fut modeste, presque que personne n'avait apporté un ballon. L'abbé Joye, un ancien du Compesières, releva le défi, dignement et avec l'entrain qu'on lui connaît. Il bénit les ballons comme naguère on bénissait les maison, les semences et parfois aussi les canons... Personnellement j'aurais aimer qu'il bénisse les personnes...

    Qu’importe! La cérémonie a ravi les coeurs, je crois. Par deux fois des applaudissements ont retenti. Pour dire merci pour la bénédiction. Pour dire merci à l’abbé Joye et aux musiciens du jour: Marie Colongo, flûtiste de la classe de Gaëlle Richeux et Pierre Louis Rétat, organiste. Ils interpréteront tout au long de la messe la sonate en sol mineur de JS Bach (BWV 1034). 

    Cette messe foot sera-t-elle une messe unique?

    Cette messe foot sera-t-elle une messe unique? Quelle sera la prochaine étape? Comment allons-nous, tous plus vieux les uns que les autres, changer le rituel, changer nos habitudes pour que les 1200 catholiques de Compesières et tous les habitants de notre paroisse entendent l'appel de notre communauté?

    Ce 12 mars, j'ai ressenti comme jamais le décalage entre les lectures, les prières, les gestes et ces cinq gamins portant le maillot à la croix de Malte qu'on avait placé dans le choeur de notre église. Quel a été votre sentiment?  (JFM)

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  • « Il y a des raisons d’espérer »

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    Mardi soir, une petite centaine de personnes sont venus au temple de Plan-les-Ouates, écouter la conférence d'Anne Soupa. La théologienne française, co-fondatrice du Comité de la jupe, défraya la chronique en 2020 en se portant candidate à la fonction d'archevêque de Lyon. 

    Anne Soupa, devenue croyante et théologienne sur le tard, une fois élevés ses quatre enfants, comme une femme normale, répond-elle à Hélène Sommer, qui avait la tâche de présenter la vedette du soir. Ses cheveux sont tout à fait raccord avec ceux de l’assistance. Rares hier soir les moins de 60 ans. 

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    Que cherchait la petite centaine de chrétiens, ce 14 mars soir au temple de Plan-les-Ouates, venus écouter, dans le cadre de la Conférence oecuménique de Carême de notre région, Anne Soupa, la théologienne catholique controversée - elle déposa sa candidature en 2020 pour devenir archevêque de Lyon - ?

    Qu’espéraient-ils? Voir plantées quelques banderilles dans le grand corps malade de l’Eglise catholique? Recueillir quelques guides pour ne pas se perdre sur le chemin du synode ouvert par le pape François ou celui des catholiques allemands, plus radical et plus controversé, achevé le 11 mars dernier? Une plainte féministe contre le patriarcat qui s’incarne aujourd’hui dans un clergé romain exclusivement masculin?

    Cette monoculture, qui se retrouve dans presque toutes les confessions chrétiennes à Genève, sauf peut-être celle des évangélistes, n’est pas une ségrégation voulue des adults et des jeunes, mais un fait têtu et pour certains angoissant. Personne n’en fit cas mardi soir. 

    Un prêche dans l'air du temps

    Hélène Sommer tenta bien d’allumer le feu. En vain. L’assistance dut se contenter de quelques propos liminaires un peu amères comme: « L’église catholique doit s’ouvrir aux femmes ou elle disparaîtra» ou encore cette citation prêtée à l’ex-cardinal de Paris André XXIII : « Il ne suffit pas d’avoir une jupe, encore faut-il avoir quelque chose dans la tête ». En rapport au Comité de la jupe, fondé en 2008 par Anne Soupa et Christine Pedotti, qui regroupe en France des femmes voulant faire bouger l'Eglise. 

    On a encore appris qu'Anne Soupa n’avait pas de modèle et espérait bientôt créer un lieu d’écoute sur le mal et la souffrance. Tout à la fin de cette séquence de présentation, cette note sur la Suisse ou les Suisses: « J’ai été fâchée quand j’ai appris que des armes suisses allaient finir au rebut plutôt que d’être données à l’Ukraine. »

    Pour le reste de la soirée, Anne Soupa botta en touche et endossa son habit de théologienne. Le pasteur Blaise Menu, assez fier d’avoir décroché la timbale en invitant une aussi prestigieuse conférencière, avait lui-même écarté tous risques de dérapage en proposant un thème imposé: « Il y a des raisons d’espérer »

    « Il y a des raisons d’espérer »

    Il y a (donc) des raisons d’espérer, même au coeur de la passion du Christ a enchaîné et voulu démontrer la conférencière en abordant successivement trois questions: Pourquoi Jésus meurt? Comment Jésus meurt-il? Et pourquoi Jésus meurt-il lors de la Pâque juive?

    Dissertation assez dense mais intéressante, quoique je ne sois ni prof ni théologien pour en juger.  Personne n’a contesté des propos somme toute assez dans l’air du temps, où les humains sont devenus assez grands pour être assez maîtres de leur destin... Et dire adieu à Dieu. 

    Le fils de Dieu est donc mort sur la croix, parce que les puissants ici-bas ne supportent pas la bonté. Les hommes de bonté - le Christ, Gandhi, Martin Luther - sapent le pouvoir des puissants assis sur la peur et l’oppression. Eux-mêmes ont peur. De l’autorité morale qui émanent des gens bons en particulier, ceux et celles qui vont jusqu’à donner leur vie pour répandre le bien. Car même le bourreau, même Pilate ont droit à cette parole: « Tu as du prix à mes yeux et je t’aime ». Voilà une première raison d’espérer. 

    Vers 1517, Luther a compris, poursuit la théologlenne, qu’il reçoit l’amour sans devoir se justifier. Je suis (être) parce que je suis (suivre). Dieu n’est pas nécessaire, poursuit la théologienne. Je ne sais pas si Dieu existe, mais l’amour qu’il me donne me libère. 

    Sans ce don, ce don d’amour inconditionnel, il n’y a pas de société viable, affirme Anne Soupa. Une société qui refuse de donner est une société en guerre. Jésus Christ est l’incarnation de ce don. Sa mort est un scandale pour ceux, les Grecs, les philosophes, les incroyants qui ont de Dieu une image de toute puissance. La Croix rompt avec le Dieu tout puissant. 

    Dieu sur la croix accepte la condition d’esclaves, du plus petits des humains. Un abaissement qui nous rassemble, tous égaux. Jésus humanise, inclue, nous offre un humanisme intégral. Ne cherchez pas à comprendre comment il est ressuscité - ce sont des questions de techniciens - il est ressuscité parce qu’il s’est donné, dit en substance la conférencière. J'espère l'avoir bien comprise et ne pas trahir ces propos. 

    Dieu est-il parmi nous? Oui, continue Anne Soupa, qui tient bien son auditoire bienveillant. Oui mais le croyons-nous? Je le croix pour toujours, confesse-t-elle, citant Françoise Dolto: "Celui qui croit n’est plus jamais seul » et Denis Moreau: « Jésus est ressuscité mais aussi ressuscitant ». Plus je suis (être) croyant, plus je le suis (suivre).

    Anne Soupa termine par Marthe, la soeur de Lazare. Elle ne demande pas la résurrection de son frère. Elle dit à Jésus: « Tu es le Christ, tu es la voie de la vie ».

    Comme ailleurs, comme toujours, Jésus dit: Ta foi t'a sauvée. La résurrection de Lazare en est la manifestation. 

    Bien sûr, c’est une utopie. 

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    Claudine Menoud, Anne Soupa, Hélène Sommer, Yves Brun, Blaise Menu.

     

     

  • Notre église de Compesières

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    Elle est belle notre église de Compesières. Elle émerge, immobile, sur la ligne d’horizon quand on monte de Saconnex d’Arve ou quand on l’observe de la route de Foliaz. C'est le seul bâtiment du hameau de Compesières à n'avoir pas changé depuis 1830 quand elle a été agrandie à sa taille actuelle. 

    A l’intérieur, elle a complètement changé en 1953, un peu moins en 2007. Elle vit aussi un lent bouleversement invisible, profond, crucial, depuis 50 ans. 


    NB: Cet article fait partie d'une série, conçue et rédigée par votre président, et constitutive du rapport d'activité 2022 de la Paroisse de Compesières. 

    1) AG 3 avril, 19h30

    2) Heureusement!

    3) Le compte 2022 est bon

    4) Compesières et l'Unité pastorale

    5) La Paroisse et la Commune

    6) La salle Saint-Sylvestre

    7) Notre église de Compesières

    8) L'année 2022 en images et en bref

     

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    A quoi bon aller à la messe!

    La science et les loisirs lui font concurrence depuis des lustres et la frappent d’obsolescence. Obsolescence, un mot savant pour dire qu’elle est devenue inutile pour beaucoup, qu’elle a vieilli, qu'elle ne rassemble plus comme naguère.

    En matière de santé, la science fait des prouesses, presque des miracles. Notre travail, nos familles souvent recomposées, les loisirs, la culture qu'elle soit de création ou de divertissement, la télévision, les réseaux sociaux captent toute notre attention, nous laissent sans répit, sans repos.

    A quoi bon aller à la messe! A quoi bon annoncer la Bonne Nouvelle du Salut pour tous les humains, du relèvement, de la résurrection, du "Tira-mi-su", comme dit notre abbé Giovanni? A quoi bon raconter les histoires des prophètes et des saint.e.s, témoigner de sa foi, méditer la passion du Christ? 

    Nous vieillirons ensemble. Merci aux derniers d'entre nous d'éteindre la lumière et le chauffage.  Notre église - je ne me prononce pas pour les autres ici, frappées de la même désaffection - ne devra-t-elle son avenir qu'à devenir un peu plus une salle de concerts? 

    Ces questions difficiles, douloureuses, ni le Conseil de paroisse ni le Conseil de communauté ne se les ont pas posées en 2022. Chacun a continué de vaquer à ses occupations. L'équipe des lecteurs emmenés par Gisèle Gaud a envoyé quelques pistes en février dans le cadre du grand synode 2023

    Les temps forts liturgiques ont été organisés par le Conseil de communauté avec les animateurs pastoraux, Isabelle Hirt, Martha Herrera et Nicolas Baertschi et nos prêtres Elie Maomou, curé de l'UP et de notre paroisse du 1er septembre 2021 au 31 janvier 2023, Jean-Marc Lacreuze, son auxiliaire régulier, Jacques Contraire et quelques autres prêtres surnuméraires.

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    Isabelle Hirt (ci-dessus au micro de Nicolas Baertschi) a pris sa retraite à la fin août 2022. Elle a été dignement fêtée lors de la messe sur le pré à Troinex. Isablelle fut la première femme à Genève à être transitoirement responsable d'une unité pastorale, celle du Salève, avant sa fusion avec Carouge et les Acacias. Cette nomination fit quelques bruits jusqu'au Vatican où on n'a pas trop apprécié cette mise en lumière sans doute trop peu canonique. 


    Lire: Remerciements à Isabelle Hirt


    Pas de messe sur le pré à Compesières

    A propos de messe sur le pré, qui traditionnellement clos l'année liturgique à la fin juin, votre président s'était imaginé l'organiser en juin 2023, à Compesières, dans l'environnement du hangar. Sa demande adressée à la Mairie a reçu une réponse négative. Genève, naguère qualifiée de Rome protestante, est devenue peureuse et s'en tient à une stricte laïcité. Pas de baptême dans le lac, pas de messe en plein air. A Troinex, le pré appartient à la paroisse.

    Dans son édition du 31 mars 2023, la Tribune nous apprend qu'un tribunal a cassé la décision de l'autorité politique qui avait refusé à la paroisse de Sainte-Claire une procession autour de l'église. L'affaire ira-t-elle jusqu'à Cour des Droits humains à Strasbourg? Combien de temps encore pourrons nous commencer la messe des Rameaux et allumer le feu de Pâques sur le parvis de notre église, qui appartient au domaine public communal?

    Messes musicales, messes du souvenir et apéros

    Deux messes musicales ont été organisées en 2022 grâce à l'initiative d'un paroissien voisin, bien connu ici, puisqu'il est président du Festival des Musicales de Compesières et secrétaire de l'association Orgue 21. Musicien lui-même, ancien président de la Musique municipale de Plan-les-Ouates, notre ami Michel Favre a proposé deux fois en 2022 à votre président d'associer des ensembles à une messe. Deux succès qui ont attiré un peu plus de monde dans notre église. 

    Michel Favre a aussi organisé une messe pour les défunts de sa famille et a invité d'autres familles à associer leurs défunts. Là encore, une cérémonie prolongée par des apéritifs à la salle Saint-Sylvestre, empreinte d'émotions et de belles rencontres. 

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    Les apéritifs après la messe, les "apérocultes" comme les appelle le pasteur de Troinex Blaise Menu, réclament sans doute un peu de temps pour les organiser. Mais ils sont toujours un temps de rencontre et d'amitiés que nous souhaitons cultiver encore. Je me souviens en particulier de l'apéro crêpes magistralement réussi par Michèle Bochud et Odile Thalmeyr. Merci à toutes celles et tous ceux qui ont rendu ces moments possibles. 

    Fête du 100e de l'orgue

    Le 19 novembre 2022 était jour pour jour le centième anniversaire de l'inauguration de l'orgue de Compesières le 19 novembre 1022. Le concert de la chorale, sous la direction de Claude Magnin, et les jeux d'orgue de Stanislas Theodas ont enchanté les gens présents. Vraiment un magnifique concert. Suivi d'un apéritif dinatoire somptueux, dressé par Gisèle Gaud et son équipe.

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    Suivi le lendemain par une messe commémorative empreinte de ferveur, puis d'un apéritif à la salle communale et enfin d'un repas de fête - coup de chapeau à Nicolas Vernain et à sa brigade -  comme notre paroisse n'en avait pas organisés depuis un ou deux lustres. 

    Impossible de citer tous les bénévoles, dont c'était la fête aussi, sans risque d'en oublier un. Merci à toutes et tous. 

    A suivre.

     


    NB: Cet article fait partie d'une série, conçue et rédigée par votre président, et constitutive du rapport d'activité 2022 de la Paroisse de Compesières. A suivre donc.

    1) AG 3 avril, 19h30

    2) Heureusement!

    3) Le compte 2022 est bon

    4) Compesières et l'Unité pastorale

    5) La Paroisse et la Commune

    6) La salle Saint-Sylvestre

    7) Notre église de Compesières

     


    Assemblée générale 3 avril 2023 à 19h30 Salle Saint-Sylvestre

    Ordre du jour.

    1) Orgue 21: Rapport de la Commission quadripartite, Convention d'utilisation du futur instrument et règlement.  

    2) Partie statutaire. Rapport de la pastorale. Rapport du président du Conseil de paroisse. Comptes 2022. Bilan 2022. Budget 2023.