Elsa Wack et Marie Guisolan et quelques autres personnes ont préparé des plantes et des bouquets de printemps locaux qu’elles proposeront à la vente ce dimanche à la sortie de la messe de 10h en faveur de l’Action de Carême. Faites leur bon accueil. 

La messe de 10h sera suivie comme d'habitude d'un apéritif à la salle St Sylvestre. Il sera offert en l'honneur de l'abbé Xavier Lingg qui aura 90 ans le 19 mars. A l'issue de l'apéritif la salle sera à disposition de l'abbé Lingg de ses proches, amis et invités pour un buffet canadien. A la bonne franquette comme il l'écrit dans son invitation.  

Les cinq articles publiés cette semaine relatant rapidement la vie bien remplie de l'abbé Lingg sont disponibles à la demande sous forme imprimée (079 400 11 18 par WhatsApp de préférence).

L'an dernier déjà, le Conseil de communauté des paroisses Salève avait renoncé à participer à la vente traditionnelle des roses venant d'outre mer,  estimant que le transport par avion de ces fleurs s'oppose au principe de proximité. Elsa Wack explique la démarche dans le bulletin de l'Unité pastorale Infos paroissiales de mars et ci-dessous.

On peut retrouver le Calendrier de Carême qui égrène ses pages jusqu'à Pâques sur le site Internet Voir et Agir. 

Les bananes ne poussent pas chez nous mais les roses oui

Vendre des roses importées par avion de l’hémisphère Sud en mars pour l’Action de Carême, c’est beau, mais pas écologique. Contrairement aux bananes et aux ananas, les roses, il s’en trouve chez nous – quand c’est la saison.

Cette année, on vous propose quelques petits bouts de sarcococca, à mettre dans un verre à liqueur en guise de vase ; ou des branches de forsythia. Ce sont deux arbustes d’origine exotique bien implantés chez nous. Il y aura aussi des boutures à planter dans le jardin ou sur le balcon. Tout cela sera vendu les 10, 16 et 17 mars après la messe, à l’entrée des églises de Veyrier, Troinex et Compesières.

Le prix sera libre, au gré de l’acheteur, et sera intégralement reversé à l’Action de Carême. Cette organisation suisse de coopération internationale s’engage dans les pays du Sud pour éliminer la faim et pour un monde plus juste. La devise de l’Action de Carême pour cette année est « Moins, c’est plus ». L’argent ira à des projets au Sénégal, au Honduras, en Ouganda ou en Ethiopie où la sécheresse frappe.  

Elsa Wack

Les lectures du dimanche

Pour aller plus loin et préparer votre messe, consultez le site Croire-La Croix 

A propos de la journée du malade, consultez aussi cette interview sur Vaticannews. 

Ajout du 12 février: un jour après la publication de ce billet, je suis tombé sur une interview de Xavier publiée par l’Hebdomadaire La Vie à l’occasion de la Journée internationale des malades. Xavier est infirmier dans une maison de soins palliatifs et croque sa vie et celle de ses patients dans des bulles. Il a déjà édité deux albums sous le nom de l’homme étoilé. Voici le lien vers cet interview intitulée: « Il faut célébrer la vie jusque dans ses derniers instants »

Première version des intentions de prière

(à télécharger les intentons revue dans un langage plus liturgique, où les applaudissements ont été biffés, sans pour spécifier que même si les soignants se sont démenés durant cette pandémie, ils ne sont pas les seuls à avoir fait des sacrifices.)

Depuis 1992, l’Église célèbre tous les 11 février, la Journée Mondiale du malade. Le dimanche de la santé se célèbre le dimanche le plus près de cette date donc le 13 février. Le thème choisi pour cette trentième Journée Mondiale du malade instituée par Saint Jean-Paul II est cette parole tirée de Luc: « Soyez miséricordieux, comme votre Père est miséricordieux » (Lc 6, 36). 

De fait, la miséricorde est, par excellence le nom de Dieu, écrit le pape  François cette semaine…  Dieu est à la fois force et tendresse. Voilà pourquoi nous pouvons dire, avec stupeur et reconnaissance, que la miséricorde de Dieu comporte à la fois la dimension de la paternité et celle de la maternité (cf. Is 49, 15), car il prend soin de nous avec la force d’un père et avec la tendresse d’une mère. (De quoi rassurer, les théologiennes protestantes d’ici qui proposent de démasculiniser Dieu)

Apprend-nous Seigneur l’art de la miséricorde, du pardon, de l’aide désintéressée.

Le témoin suprême de l’amour miséricordieux du Père envers les malades est son Fils unique. Combien de fois les Évangiles nous rapportent-ils les rencontres de Jésus avec des gens frappés par différentes maladies.

Apprend-nous Seigneur l’art de la miséricorde, du pardon, de l’aide désintéressée.

Cette attention particulière de Jésus à l’égard des malades est telle qu’elle en devient la mission des apôtres: annoncer l’Évangile et guérir les malades.

Apprend-nous Seigneur l’art de la miséricorde, du pardon, de l’aide désintéressée.

Pour terminer ces intentions, je vous propose en ce dimanche de la santé - deux ans bientôt après le début de la Covid - d’applaudir ici les personnels des soins, les visiteurs des malades et des éclopés, les proches aidants, les médecins, les chercheurs et tous ceux qui mettent leur science au service de la guérison, de la lutte contre le mal être, la douleur, l’anxiété, la peur. Applaudissons-les!

Les évêques suisses ont tenté d’imposer la Journée des malades le 11 février avant de revenir sur leur décision. David Chollet, adjoint de la Responsable de la communication du Diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg, que nous avions sollicité, explique pourquoi. 

« Je donne suite à votre message de vendredi après avoir consulté le secrétariat de la Conférence des évêques suisses qui me répond ceci : 

La 322e assemblée ordinaire de la Conférence des évêques suisses (CES) des 26-28 novembre 2018 avait décidé d’aligner la Journée des malades suisse au 11 février (fête de Notre-Dame de Lourdes) et ainsi à la Journée célébrée à l’échelon de l’Eglise universelle. Suite à cela, plusieurs voix se sont levées qui ont argumenté en faveur du maintien du Dimanche suisse des malades au premier dimanche du mois de mars. Parmi les arguments étayés :

la Journée des malades suisse, 1er dimanche de mars, est bien fixée dans le calendrier pastoral des paroisses, il ne faudrait pas la changer ; 
les Eglises y sont impliquées dans des projets œcuméniques au niveau des paroisses, associations, aumôneries d’hôpital, maisons de soins;
- les aumôneries du monde de la santé sont le plus souvent œcuméniques ;
- dans beaucoup de paroisses, la messe du 1er dimanche de mars est un point fixe pour administrer l’onction des malades ;
- ce 1er dimanche de mars reçoit une attention particulière également de la part de la société civile (ex. : message du président de la Confédération) ; 
- la Journée suisse est soutenue aussi hors de l’Eglise par de nombreuses associations du monde de la santé ou groupes actifs dans l’aide aux malades et par un Comité suisse pour le Dimanche des malades.

C’est pourquoi, la 324e ao de la CES, qui s’est déroulée les 3-5 juin 2019, a décidé que dès 2020, le 11 février sera en Suisse la Journée Mondiale du Malade et le premier dimanche de mars le «Dimanche des malades» (« Schweizer Krankensonntag », «Giornata del malato»). Le membre de la CES responsable de ce dicastère publie toujours un texte à l’occasion du Dimanche des malades, en puisant s’il le faut dans le Message pontifical publié à l’occasion de N.-D. de Lourdes. 

C’était, vendredi 11 février, la 30e journée du malade, selon le calendrier des Journées mondiales. Je n’ai pas encore trouvé pourquoi Jean-Paul II a créé cette journée alors qu’en Suisse, la journée des malades tombe le 6 mars. (J’ai reçu la réponse le 14 février, voir en fin de note) Qu’importe, on ne visite jamais assez les malades, les éclopés, les mal foutus, les reclus et autres souffrants à qui la nature n’a pas donné le gros lot de la santé.

Ce dimanche 13 février, à Compesières, les intentions de prière ont donc composé en référence à cette journée du malade à partir du message que le pape François a publié pour cette Journée et dont je vous recommande la lecture. 

On en a un peu parlé à l’heure de l’apéro, après la messe. Viviane et Michel avaient préparé une sympathique verrée. Merci à eux et merci à celles et ceux qui leur ont l’honneur de leur présence. (JFM)

NB: Cette note, initialement publiée le 11 février, a été modifiée et augmentéle le 15 février 

La première communion est fêtée ce dimanche 14 mai dans notre Unité pastorale. C'est aussi la fête des mères. La communauté du Salève célèbre ce rite de passage important à Compesières à 10h. La communauté de Carouge-Acacias se réunit en l'église Sainte Claire à 9h.

Cette année, 37 enfants ont préparé leur première communion dans notre unité pastorale, dont cinq de Compesières. Nous pouvons lire leur nom dans le dernier numéro des Infos paroissialees. 

Ce 14 mai c'est aussi la Journée des chrétiens d'Orient et la Journée mondiale de l'orgue, marquée à Carouge par un concert à 17h en l'église Sainte-Croix.

Laurence Falkner-Sciboz coordonne l'ensemble de la catéchèse dans notre unité pastorale, un gros travail dont elle a fait part au Conseil de paroisse de Compesières lundi 8 mai. Elle y représente désormais l'équipe pastorale qui a récemment reconfiguré les tâches de chacun de ses membres à la suite du retour en Guinée de notre curé Elie Maomou, rappelé par son évêque. En marge de son travail, Laurence suit une formation au Centre Catholique Romand de Formations en Église en vue d'obtenir  un diplôme de Certificat de pratique pastorale.

Télécharger ici le détail de la Répartition des tâches de notre UP Carouge Salève Acacias. 

Ce dimanche, à Compesières, le célébrant sera Jacques Contraire. Conchita Martin et Isabelle Hirt assisteront Laurence. Au niveau de l’animation musicale, l'équipe pourra compter sur l’organiste du Temple protestant de Troinex, Véronique Contri, ainsi que sur Sylvie Parisi pour mener les chants et Catherine Brantschen à la guitare.

Pour les enfants et leurs parents, ce jour est un temps fort, la découverte d'une nourriture incroyable - le corps et le sang du Christ -, un pas qui nous dépasse, un mystère insondable que seul l'amour de Dieu, Père, Fils et Esprit, peut justifier sinon expliquer (l'amour qu'on Lui porte, l'amour qu'Il nous porte). Il peut être utile à ce sujet de lire la définition du mot foi (en général et dans le sens chrétien). La première communion et celles qui suivront, c'est ouvrir une porte, c'est accueillir le Christ et s'inscrire dans ce qu'il est: le chemin, la vérité et la vie. 

Sur Internet, on trouve tout plein d'information sur cette fête chrétienne et sa signification. Le site Aleteia répond en particulier à quelques questions que petits et grands peuvent se poser. 

L'activité du catéchisme

Coordinatrice en catéchèse, Laurence Faulkner-Sciboz organise, pour les trois paroisses Salève, six samedis dans l’année scolaire pour pas moins de 85 enfants et leurs parents, souvent avec leur fratrie. C’est un nombre de participants important, en augmentation de 50% par rapport à  l’an dernier. Elle coordonne également le secteur Carouge Acacias, où 50 enfants ( + 17%) suivent des leçons de catéchisme données par des bénévoles sur un mode plus traditionnel.

Les temps forts s’organisent de la manière suivante de 15 h à 19h: quatre ou cinq ateliers organisés à Troinex (église, salle paroissiale, ancienne salle communale mise à disposition par la commune et temple de Troinex) permettent de créer des groupes d’âge d’une vingtaine d’élèves autour de thèmes. Les parents sont impliqués. C’est un gros « Barnum » qui ne fonctionne que grâce à une grosse préparation en amont, a souligné Laurence lundi dernier au Conseil de paroisse de Compesières. 

A 18h, la messe du samedi à Troinex est donc animée régulièrement par les quelque 120 personnes de la catéchèse. L’abbé Xavier Lingg apporte un bel enthousiasme et une liturgie adaptée aux enfants. 

A noter que les enfants inscrits au sacrement du premier pardon et de la première communion, ceux donc de ce dimanche, suivent une session de formation particulière le mercredi. 

Messe sur le pré le 10 juin prochain à 18h à Troinex, help!

Tous ces enfants et leurs parents se retrouveront pour la messe sur le pré le 10 juin prochain à 18h. Tous les paroissiens sont invités. Elle sera suivie d’un repas canadien. Ce sera la fête du caté Salève et les enfants de Carouge Acacias seront invités. L’équipe a besoin d’aide.

(photos: la première communion le 8 mai 2022)